Six conseils pour optimiser le référencement de ses articles

33 commentaires sur “Six conseils pour optimiser le référencement de ses articles”

  1. Ton titre d’article doit avoir un codage html fort (type H1) : Google apprécie énormément. A l’époque, j’avais inversé H1 (titre du site) et gras (titre des articles) … bah ca a été flagrant sur le référencement.

  2. « Construire une URL “propre” c’est à dire sans “de”, “la”… car ces mots n’apportent rien du tout d’un point de vue référencement. »
    Pas complètement vrai : certains internautes tapent des phrases entières, et même parfois avec le point d’interrogation à la fin !!
    Des expressions toutes faites reviennent régulièrement comme « Métaphore de la ferme des animaux »ou « chassez le naturel il revient au galop ».

    Sinon, les tags m’ont apporté directement (j’insiste quand même sur le « directement ») 2 ou 3 visiteurs en 1 an, donc bon…

  3. @Moira en effet H1 ou H2, wordpress utilise le codage H2 pour les titres

    @Frenchmat, je suis d’accord mais les tags peuvent te générer des pages spécifiques comme celle-ci http://www.2803.com/tag/seo. Par ailleurs je précise que j’utilise essentiellement les tags pour générer des meta keywords dans le header de la page.

  4. Il est indéniable que l’URL et la balise TITLE sont très importants.
    pour optimiser la balise TITLE il faut mettre uniquement un titre court (inutile de répéter le nom du blog ou site) avec de préférence les mots clés importants en tout début de titre.

  5. Très intéressant tout cela. Par contre, le lien en point 5 ne fonctionne plus.

    Je m’en vais appliquer quelques de tes conseils :)

  6. Mettre le titre du blog après le nom de l’article comme ceci « Titre de l’article – Nom du blog », ou comme toi ne pas mettre du tout le nom du blog dans le titre. Sauf évidemment s’il y a des mots clés importants dedans.

  7. Je suis bien d’accord avec toi sur le point 1 mais cela amene a faire des titres terriblement classique et ce n’est pas forcement le mieux pour se démarquer

  8. @Damien tu peux quand même te lacher si tu customizes ton URL et que tu ne laisses pas wordpress ou dotclear la générer pour toi sinon tu es mort ;)

  9. @Damien: tout l’art consiste à trouver le bon compromis entre un texte optimisé pour les moteurs et un texte optimisé pour les lecteurs. Je conseille d’écrire d’abord naturellement pour les « humains » puis à la relecture de modifier les titres et autres pour les moteurs.

  10. Henri, Mathilde > Vous avez raison, tout est une histoire de compromis… ;p – et c’était juste histoire de dire qu’il ne faut pas tout appliquer a la lettre

  11. @Henri : sur le point 2, est-on sûr que Google ne va pas se tanner de ce type d’urls sans « le » « la » « les »
    Personnellement j’optimise le titre mais je laisse ce type de mots dans les urls.
    Je ne crois pas qu’il y ait vraiment de différence au niveau du référencement ?

  12. Je pense que tu fais du bruit avec ce genre d’articles (le, la, un, des, de, …) dans les URL mais je peux me planter…

    Est ce qu’un spécialiste pourrait répondre?

  13. C’est un choix à faire. A la rigueur, fais un test avec à peu de choses prêt le même article (pas strictement identique à cause du duplicate content de google) et regarde au bout d’une trentaine de jours lequel a eu le plus de hits : celui avec les pronoms ou l’autre ;)

  14. L’utilisation de le ou la est pris en compte par google, mais n’a pas un poids très important (tapez quand meme « le » ou « la » dans google pour voir les sites qui sortent).
    Autre petit conseil concernant les urls, utilisisez les « – » pour séparer les mots plutot que rien ou qu’un « _ ».
    L’idéal est d’utiliser les mêmes mots pour l’url, le titre et les liens pointant vers l’article.
    Ex:
    url : conseils-bon-referencement.htm
    title : Les conseils pour un bon référencement
    link : découvrez tous les conseils pour un bon référencement

  15. ah si je vois comment faire…

    Faire un titre optimiser pour l’url, publier puis modifier le titre il gardera le 1er titre pour l’url et on verra un titre de post disons plus glamour,

    y-a t-il un intérêt à mettre des « + » entre les mots pour l’url (je vois qu’otto a fait ça)

  16. Damien le sait puisque j’en parlais avec lui il y a deux jours par téléphone, un bon point pour le référencement consiste à mettre en place un annuaire et opérer des liens décroisés.

    En effet, lorsque A pointe vers B et B vers A, ce n’est pas aussi pertinent que si par exemple vous avez un sous-domaine voire un site C qui renvoie vers B lorsque B pointe vers votre A. Vous captez ? Ca s’appelle des liens décroisés, c’est plus difficile à faire que des liens croisés (backlinks) mais mêlé à un annuaire, le résultat peut être convainquant.

    Sur les 6 conseils du post, rien à redire si nous parlons des moteurs de recherche d’aujourd’hui. Mais vous le savez sans doute, la tendance est à ll’nalyse sémantique par les moteurs de recherche. C’est à dire qu’ils devraient de plus en plus considérer la pertinence d’un titre, et a fortiori d’un contenu textuel en fonction de la bonne adéquations aux règles de langage. Google notamment, est soupçonné de mettre en place, pour contrer un concurrent qui fait parler de lui, ce type de recherche. Ce dernier n’étudie d’ors et déjà plus les balises comme jadis : il cherche la complexité. Par exemple, si votre url contient tous les mots clés d’une recherche, vous avez intérêt à limiter énormément la répétition de ces mots clés dans les pages (la règle des 10% ne doit surtout pas être appliquée, la dilution doit être plus importante).

    Il semble aussi que l’algoritme célèbre calcule la pertinence non des mots et de leur position dans les tags ou texte de façon isolée, mais de la LIAISON entre la constitution du titre, des méta balises et du contenu. Ainsi, un titre court sans les articles définis, indéfinis, etc. traité avec une balise description qui reprend ce titre en ajoutant les articles et une longueur de description supplémentaire comprenant non les mêmes mots clés mais des mots se rapportant au champ lexical des mots clés, et de même avec une dilution des mots clés proportionnelle à la longueur du texte (il ne faut par exemple présenter une expression clé qu’une seule fois et non 10% si title, description sont bien remplis)..blabla… fonctionne mieux qu’une simple règle de pourcentage de répétition d’un mot clé.

    L’autre partie fondamentale d’un bon référencement consiste à lier les articles entre eux sur les blogs. En effet, google, pour maintenir un bon niveau de référencement sur un thème, a besoin de le voir répété. Si vous ne parlez d’un thème qu’une seule fois, google va considérer la « news », vous placer correctement, puis vous balayer rapidement si le thème n’est pas soutenu par d’autres posts. C’est le problème des blogs généralistes, sans fil conducteur apparent. La liaison des posts entre eux permet en outre de mieux propager le pagerank de la page d’accueil et des pages importantes sur tout le blog. Rien ne sert d’avoir un pagerank 12 (bon là avec un tel pk, le blog prend feu de toute façon) si la page super rankée ne renvoie pas de façon systématique vers les pages contenant un thème précis. Alors le référencement devient un art : il s’agit de créer une toile de liens internes dense et thématisée. C’est ce que sont sensées faire les entrées thématiques. Mais ça ne suffit pas. Lorsque vous affichez par exemple 10 posts sur votre page d’accueil, le post 11 sortant va voir son ranking modifié. Afin de le maintenir à un bon niveau de référencement, il faut le rappeler par des liens, de façon régulière, sur des thèmes similaires et surtout avec des mots clés très choisis. Ces derniers doivent reprendre les titres et descriptions de la page visée si possible à chaque fois avec des mots différents.

    Bref, ces 6 points sont intéressants, mais le référencement d’un blog, s’il est facilité par ses nombreuses mises à jour, est aussi un piège, parce qu’il devient alors une sorte de mémoire vive, mémoire à court terme sur les moteurs de recherche. Pour maintenir des posts et un blog à un bon niveau de référencement, il faut donc sans cesse réactualiser l’ensemble du blog, avec des rappels, notamment.

    Voilà, c’était la petite parenthèse de services-a-domicile.fr ! (sur lequel tous ces éléments sont testés progressivement, pas toujours bien mis en place du fait du nombre énorme de pages référencées, comme sur un blog).

    Salut à tous !

  17. @CESU, merci pour ce commentaire très intéressant. Quand tu parles de faire vivre l’ensemble du blog je suis à 100% avec toi, c’est d’ailleurs l’intérêt des « related posts » en bas des articles d’un blog par exemple. J’ai même lu qu’il fallait rééditer des posts pour que google considère leur mise à jour (mettre un point, corriger une faute d’orthographe…).

    Conclusion le référencement c’est vraiment un truc qui s’apprend au jour le jour et qui n’est pas si évident que cela!

  18. En fait, même si Technorati ne rapporte qu’un trafic très limité sur les blogs francophones (normal, Technorati est essentiellement anglophone, sans versions localisées, contrairement à l’ensemble des moteurs de recherche généralistes qui disposent d’une version spécifique à chaque pays ou presque, en plus de chaque langue), il n’en demeure pas moins que cet outil génère un nombre non négligeable de liens pour chaque mot-clé référencé. Aussi, il est bon de ne pas l’oublier dans sa stratégie de référencement.

    Cela étant, on notera que Technorati n’a pas nécessairement besoin de « tags », mais se contente très bien des « catégories » d’un blog. Il est par conséquent tout à fait légitime d’organiser son blog sans recours à un plugin additionnel, mais en utilisant directement les catégories du blog, utilisées comme tags ou mots-clés. A ma connaissance cependant, il n’existe pas de plugin d’aide à l’organisation de ces informations catégorisées, et la maintenance manuelle peut paraître fastidieuse (gérer plus de 20 catégories dans l’interface d’administration de WordPress est actuellement à la limite du pénible).

    Enfin, en matière de référencement externe, que le présent article n’aborde pas, outre les méthodes classiques, j’aurais tendance à suggérer l’utilisation de digg-like, d’une part, et de gestionnaires de bookmarks sociaux, d’autre part. C’est que mine de rien, je me suis aperçu récemment que ma propre page de del.icio.us affichait un PR 4, alors que je n’ai jamais tenté d’en faire la moindre promotion. Or, il est rarrissime qu’un annuaire propose l’apparition de liens exclusivement ou principalement dédiés à un blog tiers avec un PR de 4. Cette stratégie peut donc tout à fait s’avérer payante.

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