Le business model hybride de la vente de livres…

C’est une nouvelle mode qui va certainement faire le bonheur de certains. En effet depuis quelques temps les auteurs de plusieurs bouquins édités (par de vrais éditeurs) proposent aussi de télécharger gratuitement une version pdf de leur bouquin.

Deux exemples pour argumenter ce business model hybride :

La révolte du pronétariat : Des mass média aux média des masses6 mois après sa sortie dans les librairies le nouveau bouquin de Joël de Ronay, « La révolte du pronétariat : Des mass média aux média des masses », est disponible maintenant en version pdf et mp3 et ceci gratuitement ici. Néanmois ceux qui souhaitent le lire dans sa version papier et reliée vous pouvez toujours l’acheter ici.

55 Ways to Have Fun with GoogleMême combat pour le bouquin de Philipp Lenssen, « 55 Ways to Have Fun with Google » (édité par Lulu) qui lui aussi est disponible en version gratuite sous le format pdf. Par ailleurs aussi en vente sur Amazon ici pour les amateurs de livres.

Bref, un principe très web 2.0 : payer si vous en ressentez l’utilité et si vous voulez témoigner une reconnaissance à l’auteur du service (dans ce cas l’auteur du bouquin).

Publié le juillet 3, 2006 par . Cet article a été publié dans Loisirs, Réflexion Business. Enregistrer le lien de l'article.

4 commentaires sur “Le business model hybride de la vente de livres…”

  1. Halala on m’a offert « la revolte du pronetariat » vendredi soir :p

    Je ne l’ai pas encore ouvert, je suis sur un autre bouquin « la planete echangiste : les sexualités collectives en France ». Une etude sociocul comme je les aime :p

    Je suis aussi sur « blog pour les pros » de sir Loïc :)

  3. Une très bonne idée, mais pas vraiment nouvelle.
    Le premier ouvrage que j’ai connu à pratiquer cette démarche était « Philip and Alex’s Guide to Web Publishing » de Philip Greenspun, http://philip.greenspun.com/panda/, qui date de 1997.
    Ouvrage que j’avais découvert dans une librairie de San Francisco, et qui après 3 heures à parcourir tous les rayons ‘informatique’ m’avait semblé être le seul à mériter d’être lu, comparé aux centaines de livres vaporeux, bavards et parfaitement vides que les anglo-saxons sont capables de publier dans les domaines techniques.
    Une référence à mon sens encore très riche sur ce que se doit d’être une application internet orientée *utilisateur*.
    Philip était d’ailleurs un précuseur du blog, car dès cette époque, bien qu’utiisant un site très dépouillé, toute page pouvait être commentée par ses visiteurs.

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