Zaoza en ligne aujourd’hui

3 commentaires sur “Zaoza en ligne aujourd’hui”

  1. ils ont le chic pour trouver des noms à la con qui discréditent d’emblée leur service (zaoza, vizzavi… on dirait des noms d’informaticiens 2.0 sans aucun contenu marketing)
    quel gachi pour une boite de cette envergure qui a la capacité de créer de vraie marques sur le net…

  2. Le public visé semble beaucoup plus jeune que celui de Vizzavi. Sur Vizzavi, le public visé semblait être celui de l’adulte sur une base similaire au Minitel en matière de services proposés (WAP payant à la minute). Sur Zaoza, le public visé semble celui des adolescents qui n’ont pas encore acquis de réflexes de consommation des marques de leurs aînés et à qui l’on propose, du fait de cette volatilité, un abonnement, plutôt que de la vente à l’unité, ce qui se fait actuellement sur d’innombrables services.

    Je crains cependant que la plupart des utilisateurs de mobiles dépensent leurs euros en gadgets inutiles pour vider leur forfait mensuel en fin de mois, lorsqu’ils n’ont plus de report de minutes ou autre équivalent. Sur Internet, l’intérêt semble des plus limités au vu de la concurrence de sites équivalents, essentiellement gratuits, mais aussi payants.

    Certes, il y a un intérêt d’avoir une communauté pour attirer les gens, mais une communauté qui impose un droit d’entrée ne peut se développer malgré tout le contenu proposé du fait de services concurrents qui ont déjà acquis leur masse critique d’utilisateurs habitués au tout gratuit, sur Internet. Or, compter sur le fait que les jeunes n’aient pas de téléphone dernier cri pour profiter d’un accès WiFi ou 3G pour accéder directement à Internet depuis leur lycée, cela me paraît très risqué, comme approche, d’autant que ces technologies se développent et se démocratisent à une vitesse affolante de nos jours…

  3. C’est sur que Zaoza ça se prononce comme vizzavi. Le seul problème est que cette dynamique ludique sur un nom commercial vieux de plus de 8 ans ne laisse rien présager de bon… Encore un effort, Vivendi, il est temps de passer au 21eme siècle!

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