Quelques ressources pour comprendre le phénomène web 2.0

Premièrement il est intéressant de connaître la position des financeurs, les ventures capitalists. Pour cela rien de plus simple, Armapartners, un fond, vient de publier une analyse intéressante sur le sujet : Web 2.0: Hype or Reality… and how will it play out?

Beaucoup de personnes, dont Russell s’interrogent sur les business models de ces entreprises qui proposent le plus souvent des fonctionnalités plutôt que des services valorisables et rémunérables pour ces entreprises. L’analyse est bien faite.

Dion Hinchcliffe, a quant à lui cherché les moyens de monétiser ces sites web 2.0. Le schéma ci-dessous issu de son analyse est intéressant puisqu’il présente les différentes possibilités de revenus pour les sites web 2.0 :

monetize

Néanmoins n’oublions pas que ces boîtes consomment beaucoup moins de cash que les start up des années 2000…

Publié le février 27, 2006 par . Cette article a été publié dans Réflexion Business, web 2.0 et taggé , , , , . Enregistrer le lien de l'article.

2 commentaires sur “Quelques ressources pour comprendre le phénomène web 2.0”

  1. Au XIXe siècle, avec le début de l’ère de la révolution industrielle, les acteurs économiques s’intéressaient essentiellement à la maîtrise des moyens de production. Vendre était facile, c’était la production de masse qui se mettait en place qui posait problème.

    Au XXe siècle, le marketing a fait son entrée dans l’économie et avec la surproduction mondiale de produits et de services, vendre devient essentiel, difficile.

    A la fin du XXe et au début du XXIe, certains ont cru que l’ère où la production ou le marketing avaient une quelconque importance était révolue. Ainsi, certains ont bâti des fortunes sur des idées, parfois concrétisées, parfois non. L’ère du tout gratuit, jamais payé par quiconque a commencé à voir le jour.

    J’avoue que sur ce troisième point, je me sens dépassé. :|

    Notre ami Russel n’a pas tort de comparer le web 2.0 au marché des téléphones. Cependant, il a oublié une comparaison de taille : celle de la télévision. En effet, entre un téléphone et un téléviseur, c’est ce dernier qui semble se rapprocher le plus d’un ordinateur. Or, sur ce marché, la part de la publicité est nettement plus grande, en général, par rapport aux abonnements et autres produits dérivés.

  2. Oui mais la tv est beaucoup moins interactive que le PC et cela change bcp de chose pour l’annonceur. Le client peut décider ou non de voir la publicité alors que sur la TV c’est plus dur… En attendant les PVR bien sûr qui vireront la pub de nos enregistrements ;)

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