Comment se différencier sur un marché très normé

15 commentaires sur “Comment se différencier sur un marché très normé”

  1. En même temps trackmania ESWC est justement largement propulsé par l’ESWC qui est une des plus grandes compétitions internationales autour du jeux videos en réseau professionel, dont le buzz a surtout été alimenté par cette unique source qu’est le site de l’ESWC.

    D’ailleurs pour les curieux parisiens, l’édition de cette année commence le 29 ou le 30 et se déroulera à paris bercy.

  2. NVIDIA a financé via l’ESWC le jeu vidéo, c’est plus du marketing que de la publicité à mon avis, car il n’y a pas d’autres publicités que ces deux-là :)

  3. On peut parler peut être plus de sponsoring que de pub alors, sponsoring qui est indexé sur le nombre de joueurs online (si j’ai bien compris l’intervention de Florent de Nadeo ;))

  4. Dans le cas de Trackmania Nations, oui essentiellement. Après je pense qu’ils vont développer ce modèle dans leurs futurs développements, comme vont le faire la plupart des jeux d’ailleurs je pense :) Ce qui ne serait pas plus mal vu la grogne permanente des gens qui ne veulent plus acheter les jeux.

  5. On entre dans une nouvelle aire … celle du gratuit avec la qualité en prime !
    Aprés le film Elephants Dream, les sites d’hébergement de photos et vidéos en ligne comme YouTube ou DailyMotion voiçi un super jeu vu le screenshot : Trackmania Nations ESWC !
    Moi je dis bravo à tous ceux qui y trvaillent !

  6. Au moins tu règles le problème du piratage tout en conservant un niveau de qualité très appréciable (il suffit de regarder le gazon dans le jeu).

  7. Tout à fait, il faudrait que les maisons de disque suivent ce principe, en nous fournissant de la musique gratuite :D
    Gratuit c’est peut-être abusé, mais moins cher ou alors avec des véritbales goodies en achetant un album ! genre un poster, un porte clefs etc … même si ça revient cher le porte clef :p

  8. Voilà, personnellement, ce que j’appelle du marketing intelligent.

    Comme tu le dis, Seth apprécierait: ce n’est plus du matraquage publicitaire mais bien une bonne promotion. Reste à savoir ce qu’en ont retiré les annonceurs…

  9. Pour Nvidia le retour est à mon avis très intéressant : le jeu a été téléchargé plus de 6 millions de fois et les fondateurs de nadeo estiment le nombre de joueurs online à plus de 3 millions d’utilisateurs.

    Ce genre de sponsoring / publicité se négocie entre 1 et 4$ par joueur online (si j’ai bien capté les chiffres fournies par nadeo).

  10. Cela fait des années que l’on tente de placer des publicités directement dans les jeux, mais avec un succès mitigé, cette publicité ne couvrant que de très faibles parts d’un budget de jeu vidéo conventionnel. Crazy Taxi de Sega est sorti en 1999, si je ne m’abuse. C’est un jeu sur borne d’arcade adapté par la suite sur consoles de jeux vidéo, où le joueur devait amener des clients au magasin Fila, Levi’s ou encore au Pizza Hut du coin. Le jeu n’en était pas moins payant, pourtant.

    Pour un titre PC disposant d’un minimum d’ambition, il est rare que les constructeurs de matériel n’offrent pas un support technique dédié, ou encore du matériel, parfois des versions prototype jusqu’à six mois avant le lancement du produit sur le marché, afin de s’assurer de son utilisation optimale sur leur plateforme matérielle. Ce partenariat leur permet en retour d’identifier les jeux vidéo à venir disposant d’un bon potentiel, proposant alors aux éditeurs des arrangements marketing (publicité conjointe) ou de distribution (inclusion d’une version généralement limitée du jeu dans la boîte avec l’accessoire matériel). En fait, ces partenariats existent depuis toujours.

    Cependant, croire que la publicité seule peut financer un jeu vidéo, cela revient à croire que le cinéma pourra un jour devenir gratuit. En effet, développer un jeu qui aura la prétention de figurer au top 10 des ventes coûte la bagatelle de 10 à 35 M€. Combien de bannières publicitaires faudra-t-il pour financer un seul jeu ? Les grands films permettent eux aussi de faire du placement produit — difficile de regarder un James Bond sans que cela ne saute aux yeux ! –, cela ne les rend pas gratuits pour autant !

    Cela étant, depuis l’avènement de GTA, on se rend compte que les jeux vidéo ont non seulement des surfaces publicitaires à vendre, mais éventuellement aussi des espaces publicitaires audio, avec l’apparition dans les jeux à venir de radios dédiées aux jeux en ligne, permettant ainsi de toucher un public aisément identifiable…

    Nous verrons bien ce qu’il advient ces prochaines années, mais à mon humble avis, cela restera tout de même très marginal par rapport au chiffre d’affaires de la voie classique qu’est la vente au détail dans un magasin diposant d’un comptoir réel, « physique »…

  11. Mouais ok pour un jeu de bagnoles mais insérer de la pub dans les décors de world of warcraft je suis pas sur que ça interesse beaucoup d’annonceurs (c’est dispo le mur de la caverne là derriere le gros monstre pour mettre ma pub SNCF ?)

  12. En effet daniel tout n’est pas adapté à un business model de pub dans le jeu video. Warcraft est un bon contre exemple il me semble.

    En revanche, dans les jeux de Shoot them Up genre Duke, Half Life… Il y a déjà des encarts pub insérés dans les éléments contextuels du décors comme par exemple une pub pour pepsi sur un distributeur de boisson.

  13. En fait, pouvoir acheter des chaussures Adidas pour améliorer sa dextérité ou un manteau Lacoste pour améliorer son karma, ou encore un arc et des flèches Décathlon pour tirer plus précisément peut être intégré à un jeu comme Warcraft…

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