Comment devenir un acteur de poids quand on est tout petit, le cas du télépéage

10 commentaires sur “Comment devenir un acteur de poids quand on est tout petit, le cas du télépéage”

  1. Encore du franco-français, il faut un RIB pour le paiement. En tant que Belge j’ai choisi APRR car le paiement par VISA est possible.

  2. Un bon article qui m’éclaire sur « un marché » dont je n’avais aucune connaissance :) (si le badge est gratuit je crois que je vais me laisser tenter …)

  3. Bonne analyse marketing.
    Petite réflexion entre parenthèse : la perdante c’est la jeune fille (parfois) souriante qui s’est fait virer pour être remplacer par une machine. Les sociétés d’autoroute font des profits faramineux !!!!! toujours plus …

  4. L’astuce gagnante vient peut être du fait que les sociétés d’autoroutes se refacturent entre elles probablement moins cher qu’elles ne facturent les abonnés.

    Par exemple, j’ai un abonnement chez Alis, je fais un trajet paris – lyon, je vais payer le prix normal de ce trajet à Alis, mais APPR refacturera peut être un peu moins cher mon trajet à Alis (sans tva, prix de gros, accords, tout ça tout ça) qui en profitera pour faire une marge ?

    Ce n’est qu’une supposition.

  5. Je suis abonné Aréa (APRR – Eiffage) depuis bientôt 20 ans. Et si je dis que je suis abonné, c’est tout à fait volontaire. Au début cela permettait au gros rouleur de gagner de l’argent (enfin plutôt d’en dépensé moins). Je m’explique contre un abonnement annuel d’environ 400 francs (pas encore les euros) j’avais droit à 30 % de remise sur le prix du passage. Depuis le télébadge est arrivé, cela permet de perdre moins de temps au passage, et parfois d’éviter les grèves (même si le passage était parfois gratuit contre 10 min d’un argumentaire d’un péager). Avec le réseau national télépéage, j’ai perdu 5 % de remise, mais j’ai gagné une réduction sur tous les réseaux APRR (que j’utilise peu), et je paye le prix normal sur tous les autres réseaux.
    Je crois que c’est toujours gagnant pour les gros rouleurs, même si le nombre de passages pour rentabiliser le badge est de plus en plus élevé. Je suis par contre plutôt opposé à toutes ces offres pour la démocratisation du télépéage, car le nombre d’entrée ou sortie badge ne suis pas la même cadence, et il commence à y avoir des grandes queues sur les points d’accès.

  6. Le début de l’article me fait penser à l’echec de moneo et des banques qui ont voulu a la fois diminuer leur frais de gestion du numéraire et facturer leurs clients particuliers et adhérents en plus…

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