OpenSmile, un bureau virtuel tout bête mais efficace
Un bureau virtuel en ligne permet depuis un onglet de votre navigateur d’avoir accès à des services habituellement disponible par le biais de votre OS. OpenSmile rentre dans cette catégorie d’application en proposant en accès gratuit à des jeux en flash, des applications bureautiques comme Zoho notamment, un navigateur web, des services comme le programme TV…
Ces services sont bien entendu disponibles directement sur le site des ayant droit (les propriétaires des applications) mais la centralisation d’applications d’OpenSmile est élégante et plutôt bien faite. Avec ce genre d’application en ligne il est possible de laisser jouer sereinement des enfants devant l’écran (sans avoir à parcourir le web à la recherche du jeu de Dora) tout en ayant les applicatifs basiques au même endroit.6 commentaires sur “OpenSmile, un bureau virtuel tout bête mais efficace”
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Boaf, ça ne marche pas chez moi (avec Chrome), l’interface n’est pas des plus fluides et niveau graphisme c’est pas non plus transcendant (cf la calculatrice moche), la plupart des items viennent d’autres applis/os (VLC, MacOS X, …).
J’avais été plus impressionné par EyesOS !
Cela n’a rien à voir comme application, EyeOS est un vrai OS en ligne, OpenSmile n’est qu’un petit bureau virtuel très simple mais suffisant pour faire du basique et jouer à de petits jeux en flash… Je mettrais plus facilement mes enfants sur ce bureau que sur EyeOS ;)
Met plutôt tes enfant a la plage ou au parc.
Une interface simple, fluide et design
yoda
http://www.ubest1.com
@Salut, sauf quand il pleut….
Sur mon Mac, OpenSmile ne fonctionne ni sous Safari, ni sous Opera et sous Firefox, les fenêtres des applications sont mal dimensionnées, ce qui implique qu’il faille les faire défiler. La calculatrice devient donc de fait inutilisable. Le tout avance péniblement sur une machine pourtant relativement puissante.
En somme, à part l’image de fond, la démo est très décevante et se noie dans la myriade de projets concurrents dont l’intérêt, à l’heure actuelle, m’échappe.