Skype affine son business model

4 commentaires sur “Skype affine son business model”

  1. Je n’ai jamais compris comment on pouvait faire autant de fric sur un truc aussi basique que des sonneries de portable, moi qui cherche toujours à paramétrer celle qui fait juste dring dring. Faut croire que je vieillis…

  2. Mais non Vincent!

    Pour faire du fric c’est simple une sonnerie de téléphone est vendue 3 fois le prix du titre original en mp3. En plus la qualité est plus ou moins dégradée et de ce fait ils arrivent à optimiser l’infrastructure derrière et gagner bcp bcp d’argent!

  3. La grande force du modèle = la facilité de distribution. Le coût est faible (mais trop cher pour moi…vue la qualité audio et le peu d’intérêt) pour le consommateur mais le nombre de consommateurs est très (très) élevé.

  4. Ah, du vrai business ! Enfin ! Du vrai business durable qui rapporte un max de brouzoufs ! Je sens que je vais vraiment commencer à aimer Skype ! ;-)

    Maintenant que Windows Live Messenger et Yahoo! Messenger se mettent à la téléphonie par IP, sur le modèle de Skype, vont-ils adopter le jeu des sonneries en ligne ? Windows Live Messenger est bourré de « services » des partenaires de MSN, alors en effet, pourquoi ne pas lui ajouter des sonneries additionnelles payées au prix fort par ses utilisateurs, en plus des émoticônes animées (que j’ai depuis longtemps désactivées, car imposées par d’autres utilisateurs qui, comme Vincent, n’arrivaient pas à bien les configurer)…

    Vincent, tu ne dois pas être dans le coeur de cible des acheteurs de sonneries de portables. En effet, ce sont plutôt les adolescents, adulescents et autres jeunes adultes ferues de mode et de technologie qui sont les plus concernés. Mais j’avoue avoir aussi été très surpris quand l’une de mes frangines m’avait avoué acheter parfois des fonds d’écran — en N&B — pour son téléphone, avec les sonneries qui vont avec. Ainsi donc, de mannière plutôt simple, elle s’est achetée une petite grenouille avec son et image en guise de sonnerie…

    Oui, ce genre de gadgets-là, c’est du vrai et bon « vieux » business que j’aime, celui où les clients payent des vrais services. Oh oui ! :-)

Les commentaires sont fermés.