Suprnova l’annuaire de fichiers torrent de retour

Grâce au dont de l’ancien propriétaire de Suprnova (un annuaire de fichiers pour les réseaux Bittorrent) à « The Pirate Bay« , le site reprend du service. Le message daté du 20 août est explicite sur la finalité du service :

suprnova torrent

Suprnova has been down for some years due to some heavy pressure from the copyright lobby. The former owner sloncek donated suprnova to The Pirate Bay – and as you know, we like to kick ass and bow for noone!

We were going to keep this site a secret until we had finished it, but of course it leaked, that’s how internet works. So now that the word is out, we’re releasing it!

Please consider these first weeks/months as a beta test. Since we love all you guys and gals so much we decided to keep it an open beta test. That means, please behave, don’t complaint to much and if you discover any weird bugs or problems, let us know.

Some of you have also already discovered our new forum, Suprbay! Which is a joint forum for both Suprnova and The Pirate Bay. Discuss movies, music, love and whatever with your fellow pirates.

Finally, some words for non-internet loving companies: This is how it works. Whatever you sink, we build back up. Whomever you sue, ten new pirates are recruited. Wherever you go, we are already ahead of you. You are the past and the forgotten, we are the internet and the future.

y’arr!

En gros The Pirate Bay est le moteur Google et Suprnova le Yahoo des fichiers torrents!

Publié le août 22, 2007 par . Cette article a été publié dans Internet et taggé , , . Enregistrer le lien de l'article.

7 commentaires sur “Suprnova l’annuaire de fichiers torrent de retour”

  2. Je me demande toujours si les liens vers des torrents nous engagent en termes juridiques…. ;)

    Sinon intéressant de voir ce mouvement car les torrents c’est si pratique !

  5. Ce qui peut paraître ahurissant, c’est de voir les majors, depuis les tout débuts de l’ère numérique en ligne, se battre contre ces réseaux plutôt que de les exploiter. Mais l’abandon progressif des DRM sur les sites de vente de musique en ligne signifie peut-être un tournant dans cette politique suicidaire, et permettra peut-être aux distributeurs de proposer une nouvelle forme de distribution où ce n’est plus le produit que l’on vend, mais le service qui va avec.

    Cela marche bien (enfin « bien »… disons que certains arrivent à en vivre, et même plutôt bien) avec les logiciels dits libres, alors pourquoi cela ne pourrait-il pas fonctionner dans d’autres corps de métiers que l’informatique ? Il y a clairement de nouvelles voies à explorer et gageons qu’au lieu de lutter contre le piratage à base de procès, les majors sauront tôt ou tard s’adapter au plus grand profit des consommateurs de culture que nous sommes tous.

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