L’abonnement pour Apple et One pass pour Google

10 commentaires sur “L’abonnement pour Apple et One pass pour Google”

  1. Heuu … Apple ne dit pas que les entreprises doivent faire une marge de quasi-0 : Ca dit simplement que le prix fait dans le cadre d’une promotion doit s’appliquer systématiquement, que tu passes par le lien de la promo ou par l’achat classique. Ce qui est plutôt pas mal : politique du prix unique, peu importe la plateforme ou l’origine de l’achat, avec une vraie transparence !

  2. Oui je n’ai pas écrit qu’apple imposait une marge nulle mais que les éditeurs intégrer les 30% de commission d’apple ce qui pour certains services revient à vendre à marge nulle… Après le prix unique why not mais s’ils ne gagnent plus d’argent il n’y aura plus de contenu…

  3. Correction : Apple n’impose pas sa solution comme solution unique de vente pour l’éditeur, il dit que si c’est Apple qui apporte le client, il prend 30%. L’éditeur peut toujours recruter tous les clients qu’il veut via son site web pour consulter ensuite le contenu de l’app, et touchera 100% du revenu. Apple fait payer la simplicité et le confort de l’achat in-app, il n’interdit rien aux éditeurs. Ce confort et cette simplicité permettant d’augmenter sensiblement le recrutement, à n’en pas douter. C’est tout à fait normal qu’Apple touche sa comm, et personne d’un peu sensé ne contredira cela. Ce qui parait moins normal, c’est le montant qui semble un peu trop élevé . Mais Apple est là pour gagner de l’argent, pas pour sauver la presse, contrairement à ce que pendent les bisounours.

    Google n’a fait qu’une annonce sur un hypothétique futur service. C’est comme si au lendemain de la présentation de l’iPad l’annee dernière, Motorola avait dit qu’ils allaient sortir leur Xoom. Ce n’est pas un hasard de calendrier, c’est de l’opportunisme pur et simple. Google avait habitué à mieux, ils n’ont pas besoin de ça…

  4. En effet l’éditeur n’est pas obligé de passer par Apple mais s’il vend sur Apple il devra proposer le prix le plus bas. Pour l’annonce de Google, personne n’est dupe en effet un projet avec une vidéo sortie du carton on bon moment…

  5. Etant donné que l’éditeur n’est pas obligé, objectivement, il n’y a pas vraiment de quoi en faire tout un plat. Enfin, pas autant que tout ce qu’on lit dans… les médias, justement.

    Le 30% peut paraître choquant car ils sont demandés à une industrie qui va mal. Mais ce n’est pas de la faute d’Apple, c’est en bonne partie de la faute de ces médias, de la presse en ligne, s’ils n’ont pas réussi à s’adapter, et Apple n’a pas non plus à être gentil avec les maisons de disques soi-disant en difficulté.

    Si les éditeurs sont forcés par Apple de proposer le prix le plus bas, en quoi, nous, consommateurs et clients, devrions-nous nous plaindre ? Si la presse en ligne juge qu’ils peuvent se passer de l’achat in-app pour vendre des abonnements, soit, tant mieux pour eux. On verra.

  6. Oui c’est vrai ils se sont mis tout seul dans la merde. Cela me fait juste sourire de voir comment Apple a mener sa barque pour au final imposer un système pas si favorable que cela pour les éditeurs. Let’s see!

  7. A mon sens, ils n’ont jamais dit qu’ils allaient sauver la presse et faire une fleur aux éditeurs. Ils n’ont dupé personne, je crois. Les gens ont voulu croire à Apple, sauveur de la presse, mais Apple veut juste vendre des iPad, et prendre des comms sur les produits vendus sur la plateforme (iOS) et plateforme de distribution (AppStore) qu’il a montées. Franchement, rien de dingue ou d’incroyable, si on prend un peu de recul, et qu’on se dit qu’Apple n’est pas notre ami, ni celle des éditeurs, et que c’est finalement une boite comme les autres (qui fait des produits géniaux et crée ou révolutionne des marchés, cela dit ;-) ).

  8. C’est bien vrai! La presse a vu en Apple son sauveur alors que cela ne sera qu’un ange de la mort de plus pour cette industrie qui se meure un peu plus chaque jour faute d’avoir innover…

  9. C’est un pari.

    Apple prend 30% aux développeurs, ça n’empêche pas _certains_ de se faire des dollars, par dizaines, centaines, milliers, ou millions.

    Si ces 30% sont le prix à payer par la presse pour trouver son salut, faut y aller. S’ils préfèrent vendre leurs abonnements sans Apple, qu’ils le fassent, et ou ils peuvent aussi aller voir la concurrence dont on nous dit tous les jours qu’elle est tellement mieux. Et puis après, ils reviendront voir Apple, car il est, pour l’instant, et probablement malheureusement, difficile de s’en passer.

    Mais le but d’Apple n’est pas de tuer la presse en ligne…

    Let’s see, comme tu dis henri.

  10. je crois de plus avoir lu dans un journal cette semaine (le figaro de jeudi je crois) que les 30% de commission Apple comprenait la TVA. A savoir que lors de la vente d’un « article », la TVA serait supportée par Apple directement et non refacturée aux éditeurs.
    Du reste, les 20% de TVA explique peut être la différence de taux entre google (10%) et Apple (30%).

    Sinon j’adhère à l’idée qu’il ne faut pas croire que Apple est là pour sauver la presse, leur job est de vendre leur hardware et leur iOS. Par contre il doivent laisser suffisamment d’air à la presse pour qu’elle leur rapporte (regardez les résultats du modèle Appstore !).
    Les 30% dont ils parlent actuellement doivent (selon Apple) suffire à laisser vivre la presse et permettre à Apple (et d’autres) de s’engraisser.

Les commentaires sont fermés.