Les passeports biométriques : échec et réussite

2 commentaires sur “Les passeports biométriques : échec et réussite”

  1. Je pensais que cette nouvelle génération de passeports ne faisait que comporter des informations additionnelles sur les caractéristiques physiques d’un individu afin de mieux l’identifier et donc mieux suivre ses déplacements pour des raisons de sécurité (nationale), aucun politique ne voulant prendre le risque de laisser passer un nouvel attentat du type 11 septembre (cela dit, je ne vois toujours pas en quoi ce type de passeport aurait pu les empêcher, mais passons ; peut-être qu’avec rien que les informations du passeport, on pourra identifier et suivre en temps réel un individu sur des caméras de surveillance d’un aéroport, d’une gare ou d’un métro ?)

    Cela dit, ici, la faille est qu’un tiers non autorisé peut lire des informations contenues dans le transport, et ce, à distance. Du coup, en effet, cela semble être assez problématique.

    Enfin, je me demande si les passeports consulaires comportent ces informations. Après tout, ils sont utilisés par du personnel diplomatique (dont les agents et officiers du renseignement, non ?) dont les informations sont relativement sensibles. Des informations à ce niveau ?

  2. Je pense en effet que c’est premièrement la véracité de la personne liée au passeport qui est vérifiée puis éventuellement la notion du temps réel mais sans trop y croire.

    La falsification est aussi intéressante dans le cas des passeports biométriques! (plus dur a priori sauf pour les hollandais!)

    No ideas pour le corps diplomatique, ils ont des passeports ou des valises uniquement?

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