Les clés du succès pour un site Internet

32 commentaires sur “Les clés du succès pour un site Internet”

  1. l’update me semble un peu trop minimisé…même si son importance varie selon le type de site web…

  2. A première vue le cercle SEO/SEM est le plus gros et est notamment plus gros que le contenu alors que le SEO dépend pas mal du contenu (et de la notoriété / popularité et de la technique).

    Par ailleurs, le SEM correspond, je suppose aux liens sponsorisés et correspond donc plus au « paid traffic », non ?

  3. Pas vraiment poussé l’arbo ! ça donne des pistes mais n’affine pas vraiment. D’accord avec Hyst quand il assimille SEM et Paid traffic.
    Et puis je trouve que ce mix entre sources de traffic et éléments de fidélisation est un peu flou :) J’en veux plus ! et plus précis :P

  4. Ok pour le SEM qui est plus avec le paid traffic.
    @juli1d c’est un premier jet qui sera affiné ensuite mais tant qu’à faire je prefere partir sur de bonnes bases ;)

  5. Avis Perso: Content > All

    Qu’appeles-tu update ? La mise a jour du contenu ou la mise a jour du design ?
    D’ailleurs le design tu le met dans quel coin ?

  6. @sand je viens de rajouter le cercle marketing
    @slamp update j’entends mise à jour du contenu, le design je le mets dans l’ergonomie du site

  7. Trop simpliste et très réducteur pour ma part… Il ne faut pas confondre synthétiser et réduire, mais je me trompe peut-être. Et la question est : à quoi ça sert, et à qui ça sert ?

    C’est cependant une bonne idée d’article, mais à creuser beaucoup plus.

  8. Je pense que je n’ai pas été explicite dans mon post, l’objectif est de présenter les niveaux suivants aka après le contenu : product/basic info/news/blog… Mais cela viendra dans les jours à venir!

  9. L’idée et la démarche sont intéressantes.

    Plusieurs remarques pour tenter d’apporter ma contribution :
    * tant qu’à reprendre des bulles liées style cartographie heuristique (mindmapping), tu pourrais mettre des liens de 2nd niveau -> cf. certaines remarques ci-dessus liant « Notoriety » et « SEO »
    => mais sans en abuser 3-4 niveau me semble un maximum pour que la carto reste exploitable, après, il faudrait probablement d’autres cartographies comme tu prévoyais de le faire
    * je rejoins slamp sur le design, qui peut effectivement faire partie de l’ergonomie mais qui peut également être un élément à part entière, surtout selon la typologie du site web (il n’y a pas que des blogs dans la vie :p, on voit d’excellents sites aux pages statiques ou des sites en flash construits autour et pour le design)

    Je suivrai donc avec intérêt les prochains posts

  10. (a) Ajouter un niveau est une bonne idée qui simplifie la lecture:
    – En niveau 1 les 3 Ps : Ergonomy (Product), Marketing and Public Relations (Promotion) et SEO (Placement)
    – En niveau 2 :
    Ergonomy > Content > Update
    Marketing and PR > Branding
    SEO > Paid trafic

    (b) Notoriety est un résultat et pas une action : à remplacer par Public Relations (PR)

    (c) Availibity est à supprimer car hors sujet et inclu dans Ergonomy

    (d) La signification des bulles est l’élément clé du schéma car c’est la seule valeur ajoutée. Exemple : la taille de la bulle représente Time (and money) that you need to spend to make your website a true success

    (e) Les différences de taille de bulle ne sont pas assez flagrantes. Il faut agrandir les grandes bulles et diminuer les petites bulles.

    (f) Remplacer « Website » par « Your website »

    (g) Réduire drastiquement la taille de Paid traffic (on n’est pas des sociétés du CAC40) et marketing. Augmenter la taille des bulles Ergonomy et PR

  11. Bonjour

    J’aurais baptisé son article plutôt : Les clefs de la visibilité pour un site internet.

    En effet les leviers évoqués sont peu significatifs concernant le succès de l’offre.

    A partir du moment ou on ne parle ni de produit, ni de prix, pas vraiment de la confiance et pas du tout de la concurrence et de la nature du marché.

    Et le plus grand oublié de tous : Le clients (les cibles) :-))) les sites seraient t-il fait pour les robots ??

    Il y a bien un petit cercle baptisé « Marketing » mais que fait-on tenir dans ce cercle ?
    • La segmentation ?
    • Le business-model ?
    • La différenciation ?
    • La stratégie d’acquisition ?
    • Celle de fidélisation ?
    • La différenciation
    • …

    Comme d’habitude chez les référenceurs converti au marketing la SEO prend une place énorme dans leur esprit. Mais a part offrir de la visibilité à votre offre quel est- son impact réel sur son succès ?

    Bref on reprend tout et on recommence.

  12. C’est souvent le difficulté de faire correspondre des points de vue d’acteurs différents (marketeur, référenceur…). Mais tu as beau avoir la plus belle offre de la terre si personne ne visite ton site tu ne vendras pas donc retour à la case départ.

    Je ne pense pas que le schéma laisse sous entendre que le site doit être fait pour les robots car cela ne sont pas eux qui achètent mais bien les humains!

    Pour le marketing, je mettrais dedans tout ce qui touche à l’acquisition, la fidélisation. L’offre fait partie du Content de mon point de vu.

    La remarque me donne une autre idée d’article sur le timing d’une vente (mais cela sera pour plus tard).

  13. Re :
    [quote]
    ….Mais tu as beau avoir la plus belle offre de la terre si personne ne visite ton site tu ne vendras pas donc retour à la case départ…

    …La remarque me donne une autre idée d’article sur le timing d’une vente…
    [/quote]

    Je n’ai pas dit que la visibilité de l’offre n’est pas significative. J’ai dit que ce n’était pas le seul moyen significatif pour obtenir le succès.

    Effectivement lorsque l’on parle de visibilité on évoque que le premier A (Attraction) de L’AIDA. C’est peut-être une des erreur de ce schéma de ne pas se placer temporellement par rapport au besoins de la vente.

    Car effectivement pour l’attractivité le « SEO » et toutes les manœuvres destinées au référencement naturel représentent au moins 33% du travail (dans ce cas la sphère devrait être plus grande).

    Mais une fois ce travail d’attractivité réalisé le référencement ne travaille en rien à l’intérêt ou l’appétence du prospect et ne le pousse en rien à l’action. Quand au fait de de générer une récurrence de l’achat nous sommes d’accord que la visibilité de l’offre ne représente d’une bien modeste fraction du travail à réaliser.

    A vrai dire, je pense que les commerçant de la toile mettent en général (bien sur il existe des exceptions qui confirment la règle) beaucoup trop de moyens financiers au service de l’acquisition via référencement au détriment de leur fidélisation qui est souvent le parent pauvre de leur stratégie.

    Pourtant tous ces discounteurs devraient normalement essayer de récupérer leur mise dans les produits d’appels en travaillant la valeur à vie de leur clientèle n’est-ce pas ?

    Bref, le schéma ci-dessus est intéressant pour celui qui travaille sa visibilité mais ne lui donne en rien les clefs du succès en e-commerce. CQFD ;-P

  14. @Munchausen : rassure moi tu n’es pas un baron du net ?

    Si les sites marchand en ligne consacre la plus grosse partie de leurs moyens financiers au service de l’acquisition via référencement au détriment de leur fidélisation ce n’est évidement pas un hasard.

    Il est bien plus facile de trouver des nouveaux clients que d’en fidéliser.
    Les gens sont pressé et la plupart effectueront leur transaction sur les premiers sites trouvés.

    Les recettes de grand-mère qui consistait a « chouchouter » ses clients sont quasi obsolète de nos jours ( qui se traduit par une baisse générale des services après vente) et la tendance lourde d’être a même de trouver de nouveaux clients dépassent bien les frontières du net.

    Les clients veulent « TOUT TOUT DE SUITE » et les sucess story se font plus sur des « coups » que sur la durée de nos jours.

    De toute évidence Munchausen tu ne vis pas dans notre siècle…

  15. [quote]
    Il est bien plus facile de trouver des nouveaux clients que d’en fidéliser.
    Les gens sont pressé et la plupart effectueront leur transaction sur les premiers sites trouvés.
    [/quote]

    Hah… un discounter. Le type de commerçant qui ne conçoit la vente qu’en one-shot. Un des commerçant qui pense se rendre la vie facile et qui en fait rame pour pour espérer rentabiliser une acquisition clientèle toujours plus chère et des marges toujours plus basses. « Les temps modernes » dans ces conditions, ne m’en voulez pas mais « non merci ».

    Comment peut-on penser ce genre d’idiotie dans un monde ou les entreprises du luxe se sont multipliée simplement en offrant un respect au client qu’il ne peuvent trouver ailleurs.

    Alors certes, c’est vrai que certains gros site rentables se sont dit que maintenant qu’internet ne faisait plus peur à personne ils pouvaient rogner largement sur le service clientèle et répartir une partie des économies réalisées en faveur de la compétitivité de leur offre. Je ne vous raconte pas ce que cela leur coûte aujourd’hui (certains accusent encore la crise pour ne pas voir la vérité en face)

    On les a vu ces champions du discount engloutir des sommes faramineuses, tour de table après tour de table pour au final changer de « business-model » pour devenir enfin rentables. Mais vous même avez-vous autant d’argent a dépenser ?

    Ceci dit regardez aujourd’hui qui est le nouveau champion du e-commerce. N’est-ce pas justement une des rares entreprise qui travaille réellement sa fidélisation clientèle ? Une entreprise qui utilise à fond la calino-thérapie afin de multiplier son fichier client et profiter d’une récurrence des vente insolente voire insultante pour les autres acteur du net ?

    Certes en ces temps de crise le discount dans ces derniers soubresaut parait être le champion toute catégorie. Mais….

    Regardez les chose en face, même si ma sémantique et ma rhétorique sent la naphtaline, c’est ma manière de m’exprimer, tout compte fait « champion du discount », n’est ce pas vous qui êtes menacé d’obsolescence ?

    Note : « La Fnac », « Rue du commerce » et « Ventes privées », je suis sur que vous saurez remettre les bon noms sur les entreprises que j’ai évoqué. Les vraies « success-story » sont en fait les entreprises qui durent.

  16. Il me semble que le sujet ici était de déterminer quels sont les leviers pour faire actuellement un site commerçant gagnant.

    La fidélisation ne peut donc nécessairement pas occuper une place importante au démarrage d’un site.
    Mais l’absence de fidélisation ne signifie pas le mépris du client loin de la, même si certains le pratique ce que nous pouvons tous regretter.

    En cette période de crise, le prix le plus bas semble être le levier le plus puissant, de quoi permettre aux plus malins de faire des bénéfices qui permettront alors dans un second temps de mettre en place un vrai programme de fidélisation.

    Être capable de mettre en place une stratégie adaptée à un instant donné me semble bien plus pertinent dans l’ère ou nous vivons que d’appliquer une recette périmée qui marchait il y a 5 ans.

    Enfin, pour ébranler une fois de plus vos certitudes Munchausen sachez que je ne suis pas du tout un discounter :)

    @ Henri : élève Henri avez-vous revu votre copie ? lol ;)

  17. J’y travaille j’y travaille monsieur ;) En tout cas merci pour vos inputs cela donne une dynamique intéressante au sujet.

  18. Enfin, pour ébranler une fois de plus vos certitudes Munchausen sachez que je ne suis pas du tout un discounter :)

    Tiens donc, mon dieu, mon monde s’écroule ;D

    A lire votre intervention ou l’on parle de « bon coup » et de vente « one shot », le portrait qui s’en dégage ressemble fortement à celui du discounter. Pardonnez, s’il vous plaît, ma méprise.

    Bon pour en revenir au sujet, je vais faire encore une fois mon vieux c.. mais je pense tout compte fait que la véritable clef du succés d’un site internet ne tiens pas au site par lui même, mais au travail qui à été réalisé en amont de sa mise en ligne voire de sa conception.

    Produits
    Étude client (ciblage et segmentation)
    Étude Marché (et concurrence)
    Offre proposée
    Business-model
    Business-plan
    Stratégie commerciale
    Tactiques d’acquisition (et de fidélisation)

    A ce plan marketing classique vient s’ajouter certes quelques spécificité typiquement internet comme l’étude de la sémantique, l’expérience client,…

    En considérant un site internet comme un moyen d’appliquer sa stratégie, sa place dans le succès du commerce est loin d’être centrale.

    Par exemple si nous étions dans un commerce classique il représenterai votre boutique. Certes elle doit-être bien placée (visibilité, référencement) ses vendeurs doivent être accueillant et professionnels (expérience client et argumentaire efficace), son aménagement doit être bien fait et esthétique (ergonomie et graphisme),…

    Néanmoins si votre « business-model » est bon vous pouvez vous passer de tout cela et posséder une boutique qui ressemble à un entrepôt, en rase campagne peuplée de vendeurs antipathiques et mauvais commercialement (ai-je décris un supermarché ?).

    Les clients se déplaceront pour profiter de votre offre simplement parce qu’elle est perçue comme étant la meilleure.

    A contrario, vous pouvez avoir le site le plus performant, esthétique, bien positionné et référencé, possédant les meilleurs argumentaires, que le succès ne serait pas assuré si vos produits (et votre offre) sont très mauvais.

    Ce qui veut dire qu’un mauvais site peu vendre si le business-model est bon, alors qu’un mauvais business-model ne vend rien même avec le meilleur site au monde. Le site n’est pas (et ne le sera jamais AMHA) le facteur décisif du succès d’un commerce. CQFD

    Bon, il est temps maintenant de me rappeler qu’internet me fait vivre ;-)

    Le site internet est réellement un facteur décisif concernant la « visibilité » de votre offre sur internet. C’est pourquoi j’ai proposé de changer le titre de cette page par « Les clefs de votre visibilité sur internet » ou « Les clefs du succès de la visibilité sur internet » si vous voulez garder le mot « succés » dans le titre de cet article (je suppose que vous travaillez aussi votre référencement).

    La visibilité (comme vous l’avez tous souligné) est quand même bigrement importante si l’on veux vendre ses produits sur internet.

  19. Tu étais prof de math dans une vie antérieure Munchausen ? Tu devrais arrêter avec tes CQFD.

    Petite Démonstration :
    Un site peut il être le facteur décisif du succès d’un e-commerce ?

    Réponse : Oui

    Exemple : Je suis propriétaire d’une blog positionné sur une « niche » auquel est rattaché une boutique.
    Grâce aux articles que j’écris sur certains produits j’opère des ventes conséquentes dans ma boutique.

    c’est juste un exemple.

  20. Quand j’appuie sur l’accélérateur de ma voiture je vais plus vite.

    Donc je n’ai pas besoin du moteur, juste de l’accélérateur.
    CQFD (j’adore les gags à répétition énervants)

    Sérieusement :

    • Ton business est basé sur une niche, donc c’est ta segmentation clientèle qui est (selon toi) le facteur décisif de ton succès. Nous sommes bien d’accord qu’internet n’est pour rien dans l’existence de cette niche. Elle existerai que ton site existe ou pas. On pourrait (peu être) faire du commerce basé sur cette segmentation sans utiliser le support internet.

    • Ton offre est présentée de façon intelligente. C’est cette intelligence qui est le facteur de succès de ton offre, pas le fait que ton support de communication soit un blog. Si ta niche rencontrait ton offre sur un autre support (par exemple un magazine papier) elle ne serait pas moins bien présentée.

    Certes elle perdrait peut-être un peu de son efficacité car le papier ne possède pas de lien hypertexte mais néanmoins le facteur de succès serait présent.

    De même la vente pourrait se faire par correspondance sans boutique en ligne. C’est vrai que les acteurs historiques de la vente à distance doivent passer à internet sous peine de disparaître, mais si tu était l’unique fournisseur de ta niche et que le seul moyen de commander des produits soit de le faire par courrier, tes clients se mettraient à t’écrire.

    Je pense que tu a, dans ton message, oublié de parler d’autres facteurs de réussite comme le fait que ton pricing est juste, ta logistique est bonne, que tu inspire confiance à tes clients, que tu offre des services associés bien perçus,….

    Libre à toi de penser que ton commerce ne serait rien sans internet et de désigner la partie émergée de l’iceberg qu’est ton (ou tes) site(s) internet comme seuls facteurs de succès.

    Mais, en fait, si ton commerce est un succès (ce que j’espère) internet ne représente qu’une partie de l’équation complexe de ta réussite (non je n’ai jamais été prof de math).

  21. Je partage l’avis de Munchausen

    Le succès d’un site ecommerce ne peut pas se déterminer en fonction de sa présence sur le web
    Il y a des erreurs à ne pas commettre sous peine de plomber sa réussite potentielle, mais intrinsèquement ce ne sont pas les supports de vente qui font un bon vendeur

    C’est un peu différent pour les sites media car si l’intérêt du contenu est indispensable, rien n’empêche de le pomper ailleurs et donc réussir à détourner la création de valeur pour peu qu’on soit doué en technique d’acquisition d’audience

  22. Donc ce que je retiens c’est qu’il faut une dimension temporelle mais aussi des variations suivant la finalité des sites (information/Ecommerce…)

  23. (a) Il est certain qu’un site d’ecommerce nécessite plus d’attention sur l’ergonomie et le paid traffic (pilotage par le ROI) qu’un site Internet sans panier et moins d’investissements en RP.
    Néanmoins, est-ce que ça vaut vraiment la peine de démultiplier les schémas et pour souligner ces « subtiles » différences? Pas besoin de faire des schémas aussi compliqués que les plans d’avion d’EADS pour savoir qu’on dit des choses pertinentes et comme dit l’adage trop d’information tue l’information.

    Ma recommandation : 1 seul schéma pour tous les sites Internet.

    (b) A quoi correspond la « dimension temporelle »?

  24. Le temporel va permettre de montrer qu’au début des choses sont plus importantes que d’autres et idem pour un site établi (fidélisation notamment)

  25. Oui henri la dimension temporelle parait bien indispensable.

    Ellle pourrait avoir 2 couches:

    La première de dimension « atemporelle » prendrait en compte l’importance de certains critères par rapport à d’autre au démarrage du site

    La seconde, elle, prendrait en compte l’instant précis du moment ou l’on démarre son site et influencerait sur le design, le choix du mode de paiement, choix du réseaux social pour communiquer …

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